• Écoute et Agis

     

     ÉCOUTE ET AGIS

     

    Ce livre est un témoignage.

     

    Pour acheter le livre broché ou l'eBook, voici le lien : 

     

     

      

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    Certaines personnes insistaient, me suggérant depuis un certain temps

    d’écrire un ouvrage.

     

    Il décrirait mes expérimentations, mes apprentissages.

    Mais je résistais à l’idée d’aborder des éléments autobiographiques.

    En janvier 2021, une prise de conscience a éclairé ma nuit.

    Elle me montrait que j’avais à partager afin que d’autres bénéficient d’exemples ou de rappels.

    Au fil des chapitres, j’ouvre petit à petit une fenêtre sur les tests, épreuves et autres expériences que la Vie m’a apportées.

    Souvent, j’ai oublié que c’est moi qui avais créé le scénario dans lequel je m’empêtrais et je donnais trop d’importance à l’histoire.

    Car tout m’a été offert afin d’accueillir les peurs, la colère, l’incompréhension, la tristesse, le désespoir même, un lot d’émotions qui avait enfin l’occasion de s’épurer.

    J’ai été amenée à être de plus en plus la Joie, à incarner une Foi totale en l’univers : il est tellement bienveillant à notre égard !

     

     

    Dépouiller l’ego de tout ce qu’il met en avant pour dissimuler l’être véritable, tel était et reste mon programme. 


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    Résumé

     

     Incarner une foi totale dans le mouvement de la vie.

     Incarner une foi totale en ce plan supérieur qui, à chaque seconde, nous soutient.

     Exprimer ma vraie nature. 

     C’est ce qui m'anime, moi Christiane. 

     En partage, je vous offre un recueil d'expériences.

     

    Celles-ci illustrent comment je suis prise au dépourvu, ébranlée, bouleversée.

    Les résistances montent, ainsi que les peurs. 

    Pour grandir en conscience, un véritable dépouillement de l’ego se propose à moi.


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  • Petit à petit, le profond travail entrepris porte ses fruits.  Je me sens plus légère mais je reste observatrice des comportements qui sont miens à chaque instant, je sais que le nettoyage n’est pas terminé.

    Dans mon esprit, je ne me considère pas comme une victime mais parfois, quand je constate que je manifeste encore cette vibration, je soupire, j’en ai marre.  Je peux encore la déceler par exemple lorsque je reviens avec un sachet de pommes achetées à l’épicerie du coin et que le vendeur en a glissé une pourrie.  Je râle dans l’instant mais j’ai le choix.  Soit maudire le bonhomme, le juger, et m’apitoyer sur la pauvre femme que je suis, qui vient d’être roulée. Soit je prends ma responsabilité, j'agis.  Je retourne donc au magasin et demande qu’il change le fruit.  J’inscris alors tout autre chose dans ma mémoire corporelle.

    Le travail sur soi, c’est toute la vie, dit-on.  Vivement me dégager de tout cela, c’est mon souhait le plus vif.

     

     

    Je me relève doucement, j’ai un traitement d’anti-inflammatoires, je retrouve des forces.  Mais je suis encore obligée de me laver en deux fois, assise sur une chaise.  Je mange et je dors, là est l’essentiel de ma journée.  Je suis incapable de concentration, je ne sais pas lire, je ne tiens pas une conversation : je n’ai pas accès aux mots ou si peu.

     Une période toute nouvelle commence : je n’ai aucun revenu puisque je travaillais comme indépendante.  Et je n’avais pas pris d’assurance : je ne voulais pas céder à la peur de l’avenir.  Je demande à mes enfants de vider l’appartement que j’occupais : il était en grande partie meublé, ce sont donc en majorité des caisses qui vont dormir dans un garage en attendant la suite. Car je deviens SDF.

     

     

     

     

    Il freine, s’arrête, et me dépose avec ma valise au bord du macadam, dans un endroit que je ne connais absolument pas.  Et il démarre.  Me voici seule, sans argent, dans une ville africaine inconnue, et je ne sais pas quel est le nom de la rue où habitent les amis.

    Un Monsieur âgé, portant élégamment un long boubou ivoire brodé et le petit bonnet assorti, me demande si j’ai besoin d’aide.  Je n’ai pas eu le temps de sentir la peur, j’ai à peine inspiré et expiré qu’il est apparu.  C’est épatant !  J’explique où je me rends, avec comme seuls repères la gendarmerie et le magnifique fromager qui se dresse plus loin, dans la rue.  Un jeune homme passe à ce moment en scooter.  Mon aidant lui fait signe, le jeune stoppe son élan et roule jusqu’à nous.  Quelques explications en wolof et hop !  Je suis assise derrière le gars qui a pris ma valise et l’a calée devant lui.  Il fait demi-tour par rapport à son trajet initial.  Docile, il obéit à son aïeul, sans récrimination aucune.  Il m'assiste selon les valeurs d'hospitalité, de partage et de solidarité des Sénégalais : la terànga.

     Dès que je reconnais la gendarmerie, je lui signale que la rue qui la précède doit être la bonne.  Quand il tourne, je remarque directement le bel arbre qui domine non loin.  Il ne diminue pas sa vitesse, la moto dérape, patine, glisse sur le sable et… je suis à bon port !  J’ai l’impression que je me réveille d’un rêve tandis que je remercie infiniment mon chauffeur et embrasse les amis venus m’accueillir.

     

     

     

     

    Mars 2013 : quitte tout, dicte ma voix intérieure.Waouh !  Ça, c’est un fameux défi !  Quitter ce charmant studio ?  Cette jolie campagne et ce bois où j’aime tant me balader ?  Ce calme environnant qui me permet de me déposer ?  Mais pour quoi faire ?

    Le mental crépite, il veut imposer ses objections et ses peurs.  Et pourtant… je suis vite disposée à ce départ car une part de moi soupèse l’idée depuis près de deux ans : une de mes amies est partie en communauté aux USA, guidée de la même façon.  J’ai de fréquentes conversations avec elle et la description de ses expériences démontre que c’est en ayant tout lâché qu’elle apprend le plus intensément. 

     

     

     

    La suite ? Dans le livre ou l'eBook, yes évidemment !


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